Je me souviens de cette ambiance pourrie qui régnait dans les bureaux que j'occupais à l'époque de ambiance fétide et  hypocrite, les collègues plus faux cul, les unes que les autres leur rires gras devant les collègues masculins qui s'aplattissaient devant elles. Je prenais le train à l'époque, j'ais 15 minutes de marche arrivée au bureau de devais pointer ma journée. Tu ne pouvais jamais savoir était derrière la porte à surveiller, elles faisaient ça avec tout le monde, la direction savait mais ne bronchait pas. Je passais dans les couloirs jusqu'à mon bureau que je partageais avec une de ses hypocrites. Elle racontait des misères à n'importe qui, toute la journée je m'entendais de peindre de son mari. Je passais donc  les couloirs droite comme un I je m'habillais en rouge c'étaient mon armure fassent à ce flot d'ignardes, elle m'en voulais car je m'étais pas dans leur moule.

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La fille du bureau 

Elle n'était pas jolie, mais elle s'attifait tellement bien que ça ne se voyait pas, elle n'était pas maigre, elle était fine. 

Dès le premier jour de mon engagement dans ce bureau j'ai tout de suite su qu'elle me ferait chier, elle m'empoisonera la vie jusqu'au dernier jour, pendant 21 ans. 

Je me souviens de sa méchanceté et ma peur, elle me faisait peur. C'était bien simple si on ne d'obtempérait pas à ce qu'elle voulait, elle se vengeait à sa façon, elle embrouilait le courrier, ne t'adressait plus la parole, allait colporter les pires saloperies, évidemment ce genre de fille dans un bureau fait peur à tout le monde et chacun tient à avoir la paix, aussi je me suis très vite retrouvée toute seule à devoir la subir. Je me souviens du mal être ressenti lorsque je rentrais chez moi et les weekends à ruminer.  Parfoit subitement elle devenait mielleuse et gentille, cela lui arrivait quand elle se disputait avec un membre du bureau.   Le jour de notre préavis , car le bureau mit fin aux activités et par conséquent nous avions tous et toutes reçu notre bon de sortie.  Et   donc ce dernier jour j'avais rangé tout mon brols, j'avais emprunté le couloir vers la sortie lorsqu' elle vint me cracher des insultes au visage, je me souviens être sortie très droite ne lui répondant pas et sans me retourner , je parti.     

je me demande parfois si elle est toujours aussi méchante en me disant que la haine ne doit pas attirer la haine j'essaye  de lui pardonner.

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