Rentrée de son travail ça avait été la catastrophe il ne lui avait pas adressé la juste un " BOUGE JE RRGARDE LA TÉLÉ" comme d'habitude je m'étais tue mais je sentais la douleur et la colère monté, il me traitait mal même si s'occupait de l'intendancende la maison elle se sentait mal il y avait bien des moments de pur bonheur , mais pour combien de temps, elle savait qu'elle vivait un harcèlement, des blessures de silence à répétition, il pouvait être merveilleux et si beau, en rentrant du stade il avait dépassé les borne en l'humiliant devant leur collègue au retour elle avait explosé t'elle une bombe à retardement, elle n'arrivait plus à s'arrêter les mot sortait comme flamme de sa bouche, depuis, il se terrait. Et ELLE, ELE CULPABILISAIT.

Il l'avait encore insultée par des mots mais par des rabaissement et elle s'était laissée s'enliser, quand allait elle réagir , il y avait des moments de paix quand à la maison  elle trouvait une certaine douceur de vivre car elle était chez elle, mais pour le reste où était le bonheur avec cet homme, il lui parlait mal, critiquait tout et n'importe quoi, si elle s'offrait  quelque chose il voulait savoir combien elle payé, alors que s'était son propre argent qu'elle utilisait elle travaillait, il ne voulait rien faire d'agréable. Elle savait que ça passerait qu'elle rentrerait chez elle après son travail et qu'après avoir enduré une ultime ralerie tout rentrerait dans l'ordre  comme à chaque fois jusqu'à la prochaine  crise.

Il fallait qu'elle reprenne le dessus, elle sentait qu'elle sombrait,  elle était à son boulot de garde chien, elle ne comptait que sur elle même , il ne l'appelait pas et comme  chaque fois elle déprimait, pourtant  la solitude auprès de ma garde l'aidait à voir plus clair, elle était  allée chercher une fontaine pour son étang, elle savait qu'il allait critiquer, il tirait la tête en permanence  pourtant elle l'aimait et il lui manquait il ne venait pas n'appelait pas le lendemain il avait rendez vous au stade, il ne dirait rien pour son retour et puis tout rentrerai dans l'ordre

Il lui avait interdit d'aller voir ses parents, mais il pouvait aller vse faire voir elle irait quand même" pas toutes les semaines" que croyait il qu'elle allait se laisser faire ?

Au final tout c'était arrangé comme d'habitude elle était rentrée à la maison, ils étaient partis au camping ensemble et même si elle n'en avait pas envie une fois arrivé sur place tout allait mieux, il s'était  excusé elle savait qu'il montait vite 

Elle n'avait pas envie de rentrer chez elle car ça avait encore capoté elle avait voulu gonfler le pneu de sa petite piscine et il n'avait pas voulu l'aider avec le gonfleur qu'elle ne savait pas l'utiliser , résultats l'eau était passée par dessus et menaçait d'inonder la parcelle elle avait donc dû tout vider à la hâte, il l'avait  de tarée, il lui avait dis qu'il partirait au camping sans elle pour la punir. Et même si elle l'aimait plus que tout elle resterait là , elle ne le suivrait pas elle le laisserait aller mais ne se rabaisserait plus. 

Elle avait enfin ce petit chien si désiré, ils étaient allés le chercher ensemble, elle aimait Lucius plus que tout, et elle savait qu'il tenait à elle à sa façon exclusive , mais il l'aimait vraiment un homme comme lui, c'est sur elle n'en rencontrait plus.  

Elle avait trouvé un beau Golden dans un refuge, il lui avait dit qu'il était d'accord pour le prendre, il lui avait dit aussi qu'ils trouveraient un chiot et qu'ils s'en occuper aient ensemble,

ILS  s'occupaient de leur petit fils,  enfin le fils de la fille de VICTOIRE. IL était clair qu'il était un bon papi il était joueur  et autoritaire comme il le fallait.  Mais pour ce qui était de ce chien , elle devait se redonner le bon moment viendrai il fallait qu'elle cesse de regarder les refuges , il lui avait dit un chiot , car les refuges  finissaient par les décevoir, malgré que Victoire préférait en sauvé un de là ❤️ l'espoir reviendrait ❤️

 

Les vacances étaient arrivées et il était temps, ça se passait bien mais elle avait peur déjà du retour et de la routine, de la charge de travail qui allait arriver, il fallait qu'elle se resonne, et qu'elle profite, surtout que Lucius était content. Finalement  Elle arrivait enfin à accepter l'idée d'une reprise difficile mais elle y ferait face comme d'habitude. 

 

Les enfants  étaient venus ça s'était merveilleusement bien passé ils avaient été faire une promenade en ville le temps était magnifique tout était clair, Lucius n'était pas venu restant devant son poste de télévision comme à son habitude. Mais elle n'avait plus envie de se battre il ne venait pas et bien tant pis. Elle appréciait le confort de leur logis, d'autant plus que son travail l'avait déçue, un client de longue date était décédé, etait décédé et elle avait était priée de quitter les lieux sans management, après tant d'années, elle avait dû rentré les clefs, ils avaient changé tout les codes , elle avait tout donné pour ce lieu qu'elle avait tant aimé.  

Elle avait  l'impression d'être en permanence sur des montagnes russes, un coup c'est  le grand Bonheur la lune de miel et ensuite la chute libre, la tristesse il la denigrait, et pour une bêtise,  en plus elle avait dû en parler à sa fille en larme, après plus de dix en de vie  commune, elle devait pourtant savoir comment il fonctionnait, mais elle se laissait avoir à chaque fois et à chaque fois les choses s'arrangeaient. On lui disait de partir, mais elle le connaissait, elle l'aimait, il souffrait, elle le savait. Il fallait qu'elle change de stratégie.

La tv était entre eux sujet à conflits chacun leur programme sauf qu'elle n'y avait droit que si il l'y autorisait, elle rentrait de son travail et elle devait se taire lui foutre la paix,  mais comment faire il aurait fallu 2 télévisions, mais dans avec ce manque de dialogue ça serait encore pire.

Elle essayait de reconstituer le puzzle de son passé.

Pourquoi était elle toujours triste quand elle était loin de lui, elle gardait ses petits fils c'était pourtant un moment important , mais il y avait toujours cette angoisse qui la tarraudait, ils avaient passés un très beau weekend, du moins c'est ce qu'elle ressentait, elle avait peur en permanence, quand ce n'était pas de lui,  c'était de tout perdre, une mélancolie, s'installait, elle ne profitait  du moment. Il fallait qu'elle se reprenne et comme d'habitude elle trouverai. Ils étaient  allés au jardin des plantes, il avait l'air de s'ennuyer à quoi s'intéressait il à part ses économies et son sport, certes il était là comme un père,  cela elle ne pouvait pas le lui reprocher, mais elle ne pouvait se résoudre à envier celles qui avaient des vies et relations amusantes.

Parfois tout allait bien, trop bien, elle se demandait alors se qui déclencherait la prochaine crise , des weekend où il n'y avait rien de prévu que de profiter des journée et du temps de joie étaient vite transformés en stress,ais pour l'instant tout semblait au beau fixe.

Elle voulait comprendre pourquoi il y avait tellement d'agressivité chez lui , elle savait qu'il n'était pas mauvais, il y avait une carapace en dessous de laquelle il fallait aller voir, elle voulait l'aider, mais c'était si difficile.

Il était beau , savait il qu'il était beau, ? Il dégageait un mystère, il ne parlait pas beaucoup, il observait, et elle savait comment il était et elle en souffrait, avant elle faisait das crises de jalousie, mais en ce jour elle n'en faisait plus. 

Elle avait peur de rentrer chez eux, bien qu'elle l' adorait elle avait ses parents, ses enfants, ses petits enfants, sa famille , lui ne voyait sa famille que très très rarement,  elle savait que chaque retard pouvait lui en coûter, il y aurait la gueule. Et l'incompréhension, mais parfois oh surprise mais c'était  très rare c'était tout le contraire. Il y avait  le souper qui l'attendait sur le bord de l'évier et elle devait s'y plier.

Il l'avait accompagné chez son cardiologue,  il était là, toujours là dans les moments difficiles.  Au final ils s'entendaient bien, l'ennemi de leur couple était la télé, ils n'étaient jamais d'accord sur un programme, quand à une seconde télé il ne fallait même pas y penser.   Ça allait tout dominer. 

Ils rentraient du stade tout semblait aller, rouler comme dur des roulettes, peut être parce qu'elle avait prit les devants, elle avait agit, réagit au quart de tour, non le foot n'allait pas tout lui prendre , elle avait réservé des vacances en 2 fois, elle l'emmènrait en France dans le Nord, il avait  fait semblant de ne pas y faire attention, elle réservait, il s'en foutait du moins c'est ce qu'il laissait voir. Et elle avait tenu bon, les petits séjours marqués au calendrier, la menait au au comble du bonheur. Non la déprime ne l'aurait pas non plus

Elle lui avait consacré sa vie, tout tournait autour de lui , quand il ne partageait pas un weekend de vacances, elle était dévastée mais jamais elle ne l'aurait laissé. Cependant l'absence de temps libre et de loisirs commençairnt à lui peser, la dépression allait arriver si elle ne bougeait pas il fallait qu'elle reagissse et vite.

 Elle le regardait, elle savait qu'elle l'aimerait toujours il l'avait sauvée d'un certaine façon, il l'avait enlevée d'un précipice duquel elle n'arrivait plus à ce sortir ça n'allait plus chez elle, les ados semblait avoir leur vie et avec leur père elle ne partageait plus les buts. Au jour d'aujourd'hui . Même si leur vie était d'une banalité routinière elle savait qu'elle l'avait plus que tout.

Tout était rassurant avec lui, il s'occupait, des voitures, ne râlait pas pour les courses, elle aimait faire les courses avec lui car s'était finalement leur seul sortie. Elle appréciait leur vie tranquille. Bref le quotidien et la routine. Seule ombre au tableau l'absence de moment d'évasion une  fois par an il y avait un resto.. Et encore il fallait insister, elle s'était donc résolue  à y aller avec soeur ou avec ses enfants mais là aussi s'étaient risqué, car très vite et si elle se l'autorisait elle savait qu'elle le deceverait et qu'il lui en voudrait, elle était prise entre un homme père qu'elle aimait et l'envie de sortir avec sa sœur ou ses enfants, elle ne faisait rien de mal. Au début les choses avaient été très difficile elle n'osait pas s'affirmer.

Elle avait prit mille précautions pour bien garer la voiture et malgré ça, il lui faisait encore des remarques, elle s'y était reprise à 3 fois pour être sûre de l'avoir bien fait. Malgré son caractère dure, elle savait qu'il gérait le matériel de leur vie,  

Le pire c'était ça , les silences. Car elle avait oublié d'éteindre les lumières, elle oubliait souvent les lumières, et si ce n'était pas elle il dirait que c'était elle de toute façon, et lui tirerai la gueule comme quand elle voulait sortir autrement que d'aller travailler. Pour le reste s'était un  homme sur lequel elle pouvait compter très masculin, macho, et beau avec ça. Tout était ordonné à la maison, il y avait pourtant une tranquillité. Sauf ce soir, car elle avait oublié la lumière de la salle de bain. 

Elle s'ennuyait comme un rat mort la tv constamment allumée lui constamment vissé devant et elle qui devait s'accommoder de ses programmes à lui. Elle attendait  qu'il s'endorme comme ça pourrait lui piquer la télécommande. 

Elle était rentrée de son travail crevée, ses blocs à dessin à côté d'elle restaient là, elle n'avait pas le courage ni l'envie d'y toucher , pourtant elle aimait dessiner mais il fallait laisser le fluide revenir. 

Avait elle tort de vouloir casser  son quotidien, elle avait vu une maison qui peut être pourrait les rapprocher des enfants, mais lui, était il prêt à voir plus loin, tente le coup vers un futur plus facile. Une chose était sur ils n'étaient pas si mal là où ils vivaient 

Il lui faisait peur il recommençait à lui faire peur non pas qu'il soit violent ect... Non bien sûr, c'était sa mauvaise humeur et ses silences, qui pouvait d'éteindre dans toute la maison, elle devait attendre que ça redescende.

 

 

Bonjour si vous voulez lire mes récits je vous invite sur mon blog, à tout bientôt, Victoire 

 

Récits

Comment avait elle fait  pour en arriver là, la passion avait été fulgurante pleine de promesses , elle avait quitté Richard, de toute façon leur mariage battait de l'aile, au bout de 6 mois elle était partie lui laissant les enfants, pour se retourner avec un homme plus rigide que son père, il n'y avait pas de sortie, elle en avait peur , la vie s'écoulait sans gaité au milieu des corvées et du souper à préparer pour ce couple triste. La TV était SA tv a lui, elle regardait la nuit ou quand il était endormi. Parfois par il tombaient d'accord sur un programme, elle avait vite compris qu'il n'y aurait pas de folie, mais que la routine allait prendre toute la place.